Ma Muse fuit les champs abreuvés de carnage, Et ses pieds innocents ne se poseront pas Où la cendre des morts gémirait sous ses pas. Elle pâlit d`entendre et le cri des batailles, Et les assauts tonnants qui frappent les murailles, Et le sang qui jaillit sous les pointes d`airain Souillerait la blancheur de sa robe de lin.SourceThe script ran 0.001 seconds.
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